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 EN COURS : Rex Valerien Walrus

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Rex Walrus




Messages : 10
Date d'inscription : 13/05/2014

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MessageSujet: EN COURS : Rex Valerien Walrus   EN COURS : Rex Valerien Walrus EmptyMer 14 Mai - 10:31


Carte d'identité
Nom : Walrus
Prénom : Rex Valerien
Surnom : Le Faucon de Bingham, Colonel Soulier
Date de Naissance : l'An 3183
Lieu d'Origine : Grestra, ville de Bingham
Milieu social : Classe moyenne
Famille, statut civil : Veuf, 4 enfants.
       
Taille : 1m84
Corpulence : Mince, athlétique.
Yeux : Bleu-gris.
Cheveux : Bruns
Peau : Légèrement hâlée mais pâle d'origine.

Métier : Armée impériale, Colonel d'infanterie
Classe d'arme (ou magique) : Armes à feu, maniement de l'épée.

Signes distinctifs/Particularités : Cicatrice le long de la joue gauche, de l'oreille à la commissure des lèvres.


Description physique détaillée :

Le Sergent Beck marchait à grands pas et suait à grosses gouttes à travers la cour d’honneur du Fort, réveillé avant l’aurore par son officier supérieur qui lui avait confié une délicate mission.

Essoufflé mais toujours en vie, le gros sergent ouvrit d’une bourrade la porte du baraquement des soldats de la 3ème compagnie puis se mit à déambuler au milieu des rangées de lits visiblement à la recherche de quelque chose, ou quelqu’un.

«Holtby ?» tonna t-il de sa voix de Stentor, faisant vibrer son épaisse moustache «Stephen Holtby ?»

Un jeune homme jusque là occupé a enfilé ses bottes leva la tête, aperçu le sergent puis se redressa d’un bon.

«Ici sergent !»

Le gros moustachu soupira de soulagement et quelques mètres plus loin planta sa face porcine a quelques centimètres du soldat.

«Holtby hein ? quel âge as-tu mon garçon ?»

«21 ans sergent !»

«Hum. Avant d’être ici tu travaillais comme garçon d’étage c’est ça ?»

Le soldat acquiesça d’un hochement de tête vigoureux.

«Oui sergent ! Au Gandolfi Palace à Bredingham sergent !»

«Bien bien. Ca ira je pense. Fait donc un brin de toilette et rend toi présentable ! bottes cirées, cuivres étincelants et veste brossée. Tu as une nouvelle affectation !»

Interloqué le soldat Holtby haussa un sourcil, sans toutefois poser la question qui lui brulait les lèvres. Laissant planer le suspens quelques secondes de plus le sergent Beck fini par lui flanquer une vigoureuse tape sur l’épaule qui ébranla le jeune homme.

«Tu es le nouvel enseigne du Colonel.»

Le nouvel enseigne du Colonel. Trottinant dans les couloirs du Fort, le soldat Holtby ne parvenait pas a dissimuler sa nervosité. Un baquet d’eau fumante dans les mains, une serviette éponge jetée sur l’épaule, il faisait de son mieux pour faire vite sans renverser une goutte de son précieux chargement, ce qui somme toutes s’avéra plus difficile que prévu. Arrivé devant la porte des appartements du Colonel il hésita un instant, repris son souffle et sa contenance et frappa trois coups distincts, peut être un peu trop songea t-il.

«Entrez !»

La voix était claire, autoritaire. C’était bien celle du Colonel. Le jeune homme déglutit et ouvrit la poignée à l’aide de son coude puis poussa la porte du pied. Il entra et de dépêcha  d’aller déposer le baquet et la serviette sur une petite table prévue a cet effet, près d’un grand miroir sur pied devant lequel se tenait le Colonel torse nu, les bretelles pendantes sur son pantalon d’uniforme noir rayé d’une bande rouge «Empire» des hanches aux chevilles.
L’homme jeta un coup d’oeil rapide dans le baquet puis reporta son regard de rapace sur le soldat.

«Il ne reste pas grand chose dans ce baquet Holtby.»

Stephen tenta de bredouiller une réponse mais il était si nerveux que le Colonel lui coupa la parole avant qu’il ne puisse articuler une excuse.

«Je vous avais demandé un baquet d’eau mon garçon. Pas un demi, pas un quart ni même un tiers. Savez vous différencier un plein d’un demi soldat ?»

«Je...oui mon Colonel, c’est juste que...»

«...C’est juste que vous avez été trop empressé si j’en juge vos manches trempées. Dites moi, quelqu’un vous a t-il demandé de courir ?»

Le soldat hocha vigoureusement la tête

«Non c’est bien ce qu’il me semblait.» Le Colonel marque une petite pause, planta son regard sévère dans celui du jeune homme.

«A l’avenir Holtby, n'interprétez par les ordres que je vous donne et contentez vous de les suivre. Nous en sortirons gagnants tout deux.»

«Bien mon Colonel»

L’officier se détourna vers son reflet après un bref hochement de tête et s’empara d’un blaireau et d’un bol plein d’une mousse blanche et crémeuse qu’il entreprit d’appliquer sur le début de barbe rêche qui mangeait le bas de son visage. Tandis qu’il se rasait à l’aide d’un coupe-chou parfaitement aiguisé, le soldat Holtby leva les yeux pour l’observer. C’était la première fois qu’il l’approchait d’aussi près.

C’était un grand homme, sec comme une trique. On pouvait apercevoir a chacun de ses mouvements les muscles fins et déliés rouler sous sa peau légèrement halée. Il possédait de grandes mains aux paumes larges et aux doigts longs qui opéraient avec vivacité le long de son visage émacié. Ses traits étaient anguleux, taillés au couteau. Ses lèvres fines et surplombées d’un nez légèrement busqué qui lui donnait un air d’oiseau de proie, mais ce qui frappait le plus chez le Colonel Walrus c’était ses yeux. Petits, rapprochés, ils étaient d’un bleu-gris très clair lui conférant un regard d’acier difficile à soutenir. Il émanait de lui une autorité naturelle et un charisme lui conférant une emprise quasi-surnaturelle sur les autres. On pouvait être un homme fait et se sentir comme un enfant face à lui.

«Serviette»

Tiré de sa rêverie, Stephen s’empressa de prendre la serviette sur la table puis de la tendre au Colonel qui s’en saisit avant d’essuyer son visage. Même après un rasage de près, sa barbe épaisse continuait d’apparaître sous la peau lui faisant arborer une teinte grisâtre.

«Je vous envie Holtby. Vous ne devez pas avoir a affronter cette corvée chaque matin.»

Dans les faits, le soldat était plutôt glabre et ne devait se raser le menton et la moustache que tout les deux ou trois jours seulement.

«Non mon Colonel, je pense que j’ai de la chance en effet.»

L’officier haussa les épaules et replia soigneusement la serviette avant de la reposée sur la tablette.

«A votre âge j’étais pareil. Vous verrez, la barbe c’est comme le chiendent, c’est de pire en pire de jour en jour.»

Se saisissant d’un peigne en corne posé près du nécessaire de rasage, il plaqua ensuite ses cheveux en arrières. Ils étaient noirs et coupés très courts au dessus des oreilles puis en dégradés jusqu’au sommet ou ils étaient plus longs.

«Chemise. Veste.»

Il s’exprimait par mot plus que par phrase, et cela trahissait selon Stephen une volonté d’être obéit promptement.

«Voilà mon Colonel.» Dit-il tout en lui tendant une chemise blanche à col officier parfaitement repassée.

«Merci mon garçon.»

Après la chemise vint le veston, puis la veste galonnée des deux aigles d’or et des six barrettes de même couleur. Une fois prêt, il était encore plus intimidant. Le noir de sa tenue rehaussait son teint, la fourragère dorée et les décorations sur sa poitrine lui conférait autorité et prestige. Il ceint sa taille d’une ceinture de cuir noir comprenant un étui à pistolet de même facture. Des bottes noires et hautes de cavalier parfaitement cirées venaient compléter l’air martial de sa tenue. Pour terminer, il passa son épée d’officier dans la boucle de ceinture prévue a cet effet puis, enfila la plaque pectorale en plaqué or frappée de l’Aigle Impérial autour de son cou. Il vérifia l’ensemble dans le miroir, corrigea un faux pli ou deux et se tourna vers Holtby.

«Présentable ?»

«Vous êtes très bien mon Colonel. A quatre épingles.»

«Bien.» Il claqua des talons et se dirigea vers la porte. «Il est l’heure, allons voir si vos camarades s’en sortent aussi bien.»

Stephen se pressa pour lui ouvrir la porte, il était l’heure de la revue matinale sur la place d’arme et le Colonel ne badinait pas avec ça.

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Psychologie :
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Chronologie en bref :
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Histoire :
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Possessions :

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