Midhilium
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
Cdiscount : -30€ dès 300€ d’achat sur une sélection Apple
Voir le deal

 

 Corvo Mallow, mais dites Corbeau.

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Corvo Mallow

Corvo Mallow


Messages : 26
Date d'inscription : 23/03/2014

Feuille de personnage
Origine: Dahemisk
Métiers: Mercenaire
Classe de combat: Armes à feu; corps à corps.

Corvo Mallow, mais dites Corbeau. Empty
MessageSujet: Corvo Mallow, mais dites Corbeau.   Corvo Mallow, mais dites Corbeau. EmptyDim 23 Mar - 18:41


Carte d'identité
Nom : Mallow
Prénom : Corvo
Surnom : Corbeau, parce que ça se prononce presque comme son prénom.
Date de Naissance : le 12 Cinverde 3193 (34 ans)
Lieu d'Origine : Dahemisk, une ferme
Milieu social : Ouvrier
Famille, statut civil : Père emporté par la maladie, mère alitée, grande sœur et beau frère gérant la ferme familiale, petite sœur agitée et vagabonde
       
Taille : 1m71
Corpulence : Svelte, élancé
Yeux : Bleus
Cheveux : Bruns, souvent désordonnés
Peau : Plutôt pâle, abîmée

Métier : Garde du corps, mercenaire, homme de main suivant les occurrences
Classe d'arme (ou magique) : Armes à feu (spécialement les revolver), rudiments de corps à corps (lame courte et pugilat)

Signes distinctifs/Particularités : Œil gauche manquant


Description physique détaillée :
Corvo n'est pas spécialement grand, voir même plutôt petit pour les standards des combattants. Ça, son apparence svelte et sa peau un peu pâle lui donnent un côté malingre qui incite souvent à le sous-estimer. Mais il suffit de voir son visage taillé à la serpe, généralement mangé par une barbe mal rasée, et son œil bleu perçant pour comprendre qu'il n'a rien d'une proie facile. Pas spécialement musclé mais suffisamment pour avoir tenu sa place dans l'armée sans difficultés, il est surtout vif et teigneux, plutôt le genre à porter le premier coup en traître et à continuer jusqu'à ce que l'adversaire ne puisse plus répondre si on doit en venir aux mains. Pas foncièrement violent, mais pas non plus à hésiter trop longtemps. Autant dire qu'il s'est pris de sacré coups par le passé : sa peau légèrement tannée par le vent et l'exercice est parcourue de plus de cicatrices qu'il ne peut en compter, la plupart sans grandes gravité : cul de bouteille, coup de poing, parfois barre de fer, la majorité vient de ses virées au bar ou dans des quartiers un peu louches. Les balles ont tendance à laisser bien moins de types vivants dans leur sillage, mais il a deux trois traces quand même. La plus évidente est le bandeau noir recouvrant son œil gauche. Borgne, il a désormais du mal à évaluer les distances et, pour ne rien arranger, son œil valide commence à souffrir d'une très légère myopie, à cause de la fatigue. A part ça il a des cheveux bruns très foncés mi-longs qui refusent toute tentative de coiffure et quelques tatouage, le plus étrange sur le postérieur, intitulé 'Fessez-moi', daté de sa première permission dans l'armée et dont les origines se perdent dans les brumes d’éthyles. Ajoutez à cela un fort accent dahemisk, une bonne habileté au revolver, un nez cassé, le fait qu'il soit gaucher et vous avez finis d'en brosser le portrait.

*****

Psychologie :
Corvo est un homme simple, mais pas simplet. Terre à terre, comme la majorité des damevichs, il n'est pas porté sur la philosophie, la réflexion à outrance et la plupart des exercices intellectuels en règle générale. De là à dire qu'il est idiot, il y a un pas qu'il ne vaut mieux pas franchir. Certes son éducation sommaire ne l'a pas doté de connaissances théoriques époustouflantes, mais il est plutôt bonimenteur et assez retors pour ne pas se faire avoir dans la majorité des cas. De plus, il peut faire preuve d'une finesse inattendue.
C'est un homme d'action, qui n'apprécie pas de se tourner les pouces mais supporte volontiers les ordres et la hiérarchie. Pas le genre à obéir aveuglément pour autant, il a toujours un minimum de recul sur ses actions. D'une moralité très contestable, il n'as pas beaucoup de scrupules à blesser quelqu'un mais préférera ne tuer qu'en dernier recours.
Sympathique au demeurant, il aime rire, boire et chanter -faux, malheureusement, et avec son atroce accent en plus de ça-. Il a le contact plutôt facile, mais sa confiance, elle, n'est pas si aisée à obtenir. Dans la plupart des cas, il faut avoir subis le baptême du feu à son côté. Il tend à regretter la camaraderie de l'armée et cette impression qu'il avait de faire quelque chose de juste, aussi boit-il plus qu'auparavant. Et son œil invalide, qui l'empêche de se remettre au tir de précision, vient parfois lui plomber le moral. Cela ne dure jamais trop longtemps et son caractère un peu fonceur reprend rapidement le dessus. Il aime à voyager et, bien qu'il passe la majorité de ces dernières années à Bredingham, ne crache jamais sur une occasion de reprendre un peu la route, en particulier si un pécule est en jeu. Jeunot, le garçon se serait bien vus explorateur. Adulte, il ne cracherait sans doute pas sur une occasion, si le jeu en vaut la chandelle.
En dehors de ça, l'homme sait se faire discret et a une certaine réputation d'honneur. Il n'aime pas laisser un travail à moitié finit et s'acquitte au mieux des tâches qui lui sont confiés, tant qu'elles ne heurtent pas ses quelques préceptes.
Il se définirait comme 'croyant, comme tout le monde quoi'. Comme tout le monde, oui, en tout cas tout le monde par chez lui : Serely d'abord et les autres ensuite, éventuellement. En tant que combattant, il adresse aussi parfois une petite prière à Draiocht, mais le plus souvent il se contente de participer à quelques fêtes religieuses, éventuellement assister à quelques offices, et part du principe qu'il vaut mieux d'abord compter sur soi-même et ne demander de l'aide qu'en dernier recours.
Pour finir, il n'aime pas avoir des bottes trop épaisses et se plaît à sentir distinctement les aspérités du sol sous ses semelles, il préfère la bière à la vodka mais apprécie tout particulièrement le bon whisky, il aime le brouillard, il évite autant que possible d'avoir à danser, il déteste qu'on lui fasse des remarques sur ses cheveux, il préfère les brunes aux blondes (bières comme femmes), il apprécie les paris, en particulier s'ils sont stupides, il connaît moult chansons paillardes et il ne se protège jamais de la pluie.

*****

Chronologie en bref :
3193 – Naissance dans une ferme de Dahemisk
3198-3210 – Travaille à la ferme
3198-3201 – Suit l'école du clergé d'Armastus
3210 – Engagement dans l'armée impériale
3210-3213 – Formation dans l'armée : armes à feu, entretien basique, rudiments de mêlée...
3213-3222 – Sert dans l'armée impériale, à la garnison de Kirok
3222 – Perd un œil dans une échauffourée avec des brigands, démobilisé
3222-3225 – Vit de petits boulots sur les routes
3225 – Rejoint Bredingham
3225-3227 – Vit de boulots de mercenaire dans la capitale

*****

Histoire :
Corvo est né dans une ferme du Dahemisk, deuxième enfant d'une fratrie qui en compterait trois au final. Se fut un enfant assez turbulent. Grande gueule et le genre à répondre malgré son physique trop faible, il s'est mangé sans doute plus de raclées que n'importe quel autre môme, lorsque les jeux viraient à la bagarre. Mais il en a aussi collé un certain nombre et appris à encaisser. Lorsqu'on l'interrogeait sur le comportement de son fils, sa mère plaisantait en disant qu'il était déjà comme ça durant la grossesse et qu'il avait de loin été le plus remuant. Ses relations avec ses sœurs furent très différentes : l'aînée était sévère et l'une de seules personne avec le paternel qui réussissait à le faire obéir, tandis que la cadette suivait son grand frère partout, lequel se montrait très protecteur. Il passa bien évidemment une bonne partie de son enfance puis de son adolescence à aider à la ferme, sous la surveillance d'un père autoritaire. Mais il ne comptait pas travailler ainsi pour le restant de ses jours, il avait envie de voir du pays, comme tous ceux qu'on voyait partir pour Grestra ou ailleurs, à la recherche de la fortune.

Il aurait été dans une région plus tournée vers la mer ou plus marchande qu'il se serait sans doute engagé sur un navire ou dans un caravane, mais pour un garçon de ferme tel que lui, le chemin le plus simple était tout tracé : il s'engagea dans la semaine de service avec un an d'avance. Vus son apparence cela ne serait sûrement pas passé -peut-être même pas à dix huit ans- si l'un des recruteurs n'avaient pas connus le gamin et assuré qu'il avait l'âge, non sans lui adresser un petit clin d’œil au passage. Après la semaine de service, il fit partis de ceux qui s'engagèrent pour devenir de vrais soldats.

La formation fut bénéfique pour son caractère, il apprit notamment, à la dure, le respect et l'obéissance. Il se montra également plutôt doué avec un fusil dans les mains, surclassant la plupart de ses camarades au tir de précision. Et un fêtard invétéré qui profitait de la moindre permission pour se mettre la tête à l'envers. C'est ce comportement qui lui valut ses plus mauvaises estimations, et il se trouva finalement à servir dans la ville de Kirok, frontalière avec Khörn, où les soldats avaient plus qu'à l'habitude mission de soutenir la police dans les fréquentes bagarres de taverne, les querelles entre damevichs et khörnois toujours nombreuses et entretenus par une rancœur commune. Du reste, il y avait presque autant de soldats khörnois que damevichs et la cohabitation n'était pas toujours aisé non plus.

Le caporal marchait d'un pas rigide, son regard sévère examinant les troupiers qui se tenaient bien droits à côté de lui. Pas un ne manquait à l'appel, même si il en voyait deux ou trois qui peinaient à maintenir la position, de toute évidence pas encore remis de leur cuite de la veille, malgré l'humidité sur leur visage qui révélait la douche froide de coutume dans ce genre de cas. Finalement, il s'arrêta devant un soldat, un peu moins grand que les autres, et l'examina sévèrement.
« Qu'est-ce que c'est que ça ? » daigna-t-il demander en désignant l’œil tuméfié et le nez de travers. « Un khörnois qui m'a traité de bouse de yack monsieur. J'ai répondus, monsieur. -Z'avez une trop grande gueule pour votre physique soldat, vous le savez ça ? -Mon père me le disait souvent monsieur. » Le caporal resta un instant silencieux. « Dans quel état est l'autre ? -Je sais pas monsieur, il s'était pas relevé quand je suis partis monsieur. » Un discret sourire se glissa sur les lèvres du sous-officier, qui reprit son inspection sans ajouter quoi que ce soit.


Les années passant, Corvo fut assigné le plus souvent aux patrouilles dans la campagne, étant parmi les meilleurs tireurs de la garnison, ce qui n'avait pas franchement d'utilité quand il s'agissait de patrouiller des rues ou d'arrêter une rixe de taverne. De fait il était en compétition avec un autre soldat, khörnois pour sa part, et régulièrement ils s'organisaient une petite séance de défis qui ne manquait pas d'attirer les paris de leurs camarades. Les rivalités régionales s'effaçaient dans leur garnison, et sur la fin Corvo avait bien plus confiance dans un khörnois portant l'uniforme que dans n'importe quel damevich ne le portant pas, en particulier lorsqu'il s'agissait d'assurer ses arrières.

Un jour, lors d'une escarmouche avec des bandits mieux équipés qu'ils ne s'y étaient attendus, une balle le frappa au visage. Fort heureusement le tir était de biais et n'endommagea pas le cerveau. En revanche, son œil gauche fut touché et on dus l'évacuer rapidement. Il se souvient encore qu'il pissait le sang et qu'il n'y voyait plus rien, mais qu'il n'avait pas ressentis la douleur dans un premier temps, s'étant contenté de ne chercher qu'à tuer celui qui lui avait fait ça d'après ses camarades. La suite fut confuse, extrêmement douloureuse avant qu'on ne l'anesthésie avec les moyens du bord -ce qui incluait pas mal d'alcool- puis il s'est réveillé dans un lit avec l'impression d'avoir un champ de vision nettement réduit. Il eut rapidement confirmation du bout des doigts, lorsqu'il sentit un épais pansement là où aurait dus se trouver son œil gauche.

Deux semaines après, on lui offrit de quitter l'armée avec un an d'avance sur sa durée d'engagement, en raison de la blessure. Sachant très bien quel genre d'emploi et d'avenir se dressaient devant lui dans l'armée avec un œil mort -qui plus est son œil de visée- il accepta. Il rentra d'abord chez lui, pour voir ce qu'était devenus sa famille. Il n'y arriva que pour voir son père s'éteindre suite à une mauvaise maladie. Il y resta quelques semaines, notamment le temps de s'habituer à n'avoir plus qu'un œil. Il oublia rapidement les fusils, impossible d'obtenir une visée correcte sans son œil gauche. Pour les revolvers s'était moins handicapant : toujours difficile de réaliser un tir précis, mais on n'en avait après tout pas forcément besoin, qu'importe si tu touchais le type d'en face au bras ou au flanc, tant qu'il était hors d'état de nuire.

Finalement il repartit, manquant de peu être suivis par sa sœur cadette. C'était l'occasion pour lui d'accomplir les voyages qui l'avaient poussé à s'engager des années plus tôt, en se faisant embaucher là où on avait besoin de lui : garde de caravane, du corps, de relais postier voir dans quelques trains. Finalement, il mit pour la première fois le pied à Bredingham. Il fut tout d'abord impressionné par la ville et décida d'y rester un temps. En plus, on trouvait toujours un boulot pour quelqu'un comme lui, même s'il fallait parfois mettre la loi un peu de côté. Depuis il vivote, mais envisage de changer de rythme de vie, si d'aventure quelque chose de plus intéressant se présentait à lui. C'est au cours de ces dernières années qu'on a pris l'habitude de l'appeler Corbeau, les gens pas toujours habitués à son accent pensant que c'était son nom. Même si ceux qui le connaissent savent que ce n'est pas le cas, l'habitude est restée.

*****

Possessions :

  • Une mansarde sur Handfeld ;
  • Quelques vêtements de seconde main ;
  • Un uniforme militaire usé ;
  • Montgomery modèle 8 ;
  • Cartouchière de cuir en ceinture ;
  • Dague effilée ;
  • Coupe-choux ;
  • Bandeau noir ;
  • Briquet à amadou ;
  • Flasque en verre recouverte d'osier (le plus souvent vide).



HRP
Crédit image : Reliah : http://reliah.deviantart.com/
Double-compte ? De Qui ? Qui a donné l'autorisation ? Non.


Dernière édition par Corvo Mallow le Mar 25 Mar - 13:33, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas
Valmont Ducat

Valmont Ducat


Messages : 305
Date d'inscription : 17/12/2012

Feuille de personnage
Origine: Dah'shan
Métiers: Détective
Classe de combat: Mains nues, revolver.

Corvo Mallow, mais dites Corbeau. Empty
MessageSujet: Re: Corvo Mallow, mais dites Corbeau.   Corvo Mallow, mais dites Corbeau. EmptyMar 25 Mar - 14:29

Je pense que l'on est bon.


Corvo Mallow, mais dites Corbeau. Petit_10

Et voilà Corbeau, homme intrépide à louer prêt à servir.

Si tu cherches du travail tu peux regarder si quelqu'un requiert certains services via voie de presse (il n'y a pas grand chose encore) ou directement proposer tes services dans la section "missions et avis de recherche".

Nous sommes donc la veille ou le jour même du Bicentenaire. Divers sujet on était ouvert dans le sous-forum Bredingham où tu peux aller jeter un œil (Hoho) ou si tu as une idée précise en tête proposer ton propre sujet.

Je te mets les liens sur le programme qui te permettra aussi de nous dire ou est-ce que tu souhaites participer :

https://midhilium.forumactif.org/t162-tractprogramme-du-bicentenaire-jedan-11-leorm


Encore une fois, bienvenue dans l'aventure, en espérant que tu t'amuses bien.
Revenir en haut Aller en bas
https://midhilium.forumactif.org/u1rpg https://midhilium.forumactif.org/t168-valmont-ducat https://midhilium.forumactif.org
 
Corvo Mallow, mais dites Corbeau.
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Midhilium :: Personnages-
Sauter vers: